Vitry, Un monde à l’envers où les harcelés sont expulsés !

Groupe Vitry à venir Mars 2024

Publié le 28 février 2024 Modifié le 21 août 2025

Aux victimes de harcèlement homophobe par des voisins « indélicats », l’élu en charge du logement s’engage à les faire reloger par « la préfecture » !

Pourtant depuis 4 ans, Bailleur, Police, Municipalité, tous ont été saisis par les victimes, des plaintes ont été déposées, l’affaire suit son cours depuis ! En attendant, les attaques homophobes continuent et deviennent de plus en plus violentes !

Plein de compassion polie de la part des deux élus qui les ont reçus (l’une chargée de la lutte contre les discriminations, l’autre du logement social), n’ont pu que révéler leur impuissance à résoudre le problème.

Démontrant ainsi que « la bonne volonté ne saurait compenser un manque de compétence dû à un manque de qualification ». On ne peut s’improviser juriste ou spécialiste !

La « solution » de relogement proposée, emprunte d’une « déconcertante facilité hypocrite » qui vise à faire reloger les victimes sous couvert de les « protéger » plutôt qu’à « déloger » les harceleurs.

RELOGER LES VICTIMES SOUS COUVERT DE LES « PROTÉGER » PLUTÔT QU’À « DÉLOGER » LES HARCELEURS.

Chasser » ces habitants vivant depuis 30 ans à Vitry sans aucun problème relationnel de voisinage, un bien mauvais signal donné aux harceleurs, un signe de faiblesse et d’impuissance à traiter le problème de l’homophobie comme tout autre sujet perturbant le bien vivre ensemble. « Evacuer le problème » en renvoyant celui-ci au Préfet, plutôt que de l’affronter et le combattre sans concession, n’est-il pas déjà une dérobade lâche et, aussi infliger une profonde blessure aux malheureuses victimes de harcèlement ? L’élu se vante de son savoir-faire à défendre le logement sur Vitry au travers des débats et pétitions.

L’heure n’est plus à la communication, mais à la prise de décision ferme, responsable, sans trembler !

Si qualifier la source d’un problème, s’avère manifestement bien difficile à faire, elle signe l’impuissance à traiter le sujet par les élus et donne « gain de cause aux harceleurs et homophobes », en obtenant victoire au bout de quatre ans de leur coupable activité, et resteraient donc impunis ?

Alain Afflatet
Union indépendante, non affiliés et DVD
contact@vitryavenir.fr www.vitryavenir.fr