En 2017, de nombreuses personnes étaient mal inscrites sur les listes électorales. Cinq millions ne l’étaient pas du tout. Et aux régionales de 2021, le taux d’abstention s’élevait autour de 80 % chez les 18-24 ans. Des chiffres qui font pâlir. Alors, sur le terrain, élus et acteurs du monde associatif, à l’instar du collectif Parlons Votons, se mobilisent pour que les choses changent.
Publié le 15 février 2022